Nos coups de cœur pour bouger au printemps

Les premières sorties de vélo sont toujours de grands moments de joie! Ça ajoute une touche spéciale à la frénésie du printemps. J’aime faire du vélo tout simplement pour me faire du bien, prendre l’air et bouger dans la journée. C’est un bon moyen de me garder en forme.

J’aime aussi faire du vélo pour le côté utilitaire. C’est un moyen écologique, économique, efficace et agréable de me rendre ici et là, et ce, environ 7 mois par année: à mon travail, dans des commerces pour faire des achats, chez des proches, à des rendez-vous, etc.

Seule ou avec mon mari selon les circonstances de la sortie. Il est adepte, autant que moi, de cette activité.

Heureuse et libre!

J’adore particulièrement la randonnée pédestre au printemps. C’est la température idéale, les feuilles sont encore petites, donc il y a plus de soleil dans les forêts. Quel plaisir de troquer les bottes, les manteaux d’hiver et les tuques pour des souliers, des vêtements légers et la casquette!

Marcher me fait faire de l’exercice, mais c’est le contact avec la nature qui me nourrit. Ralentir pour prendre le temps de regarder la nature qui se réveille, marcher le long d’une rivière «gonflée» à la suite de la fonte des neiges (les Chutes Monte-à-Peine, dans Lanaudière, sont impressionnantes au printemps!), sentir le parfum des pins, et tout cela, sans cellulaire (à part dans le fond du sac pour une urgence)!

Avec mon conjoint et mes 2 chiennes: Sybelle et Roxy.

Énergisée et calme à la fois.

C’est avec fébrilité que j’attends l’ouverture des terrains de tennis extérieurs, que je trouve facilement dans mon quartier et un peu partout en ville. Quelle joie de jouer à l’extérieur après la saison du tennis intérieur! On a l’impression de mieux respirer et on réapprend à composer avec le vent et le soleil. Le tennis m’apporte de belles occasions de ne pas penser au boulot, de bouger pour le plaisir et de prendre l’air.

C’est aussi avec grand bonheur que je remets mon vélo en service, tantôt pour le simple bonheur de rouler, tantôt pour aller au bureau ou faire des courses. L’énergie, la liberté et la réduction du stress que procure le transport actif en se rendant au boulot à vélo, ça vaut l’effort!

En famille ou avec divers partenaires de jeu.

Je respire tellement mieux, plus profondément, il me semble!

Même si le parc du quartier est accessible toute l’année, il y a une énergie spéciale au printemps. Ça grouille, c’est vivant! On apporte quelques équipements (ballons, corde à sauter, Frisbee, etc.), on retrouve les gens du voisinage (une surprise chaque fois) et on s’organise des jeux comme des concours de lancers de basketball ou la «tague».

J’aime l’aspect improvisé qu’amène le fait d’aller au parc. Il y a beaucoup de routine dans nos vies, beaucoup de choses à penser, mais au parc, on profite du moment et je prends plaisir à bouger sans trop réfléchir. Le soir, on y retourne parfois pour marcher autour du petit lac. L’énergie est différente, mais c’est tout aussi agréable!

Avec mon conjoint et mes trois enfants, et parfois mes parents.

Comme une enfant!

Dès que le beau temps s’installe, on est heureux d’être dehors, et donc la cour devient une extension de l’intérieur. J’aime en prendre soin et me sentir connectée à la nature. Jardiner, préparer mon potager et m’occuper des platebandes, c’est ma façon de bouger et de prendre l’air. J’aime sentir la terre chaude en surface, puis plus froide en creusant: c’est relaxant!

Ça me rend fière d’avoir un petit lopin de terre pour y produire de la nourriture. Je goûte à une certaine autosuffisance, même si c’est à petite échelle, que je trouve particulièrement stimulante. Faire un potager exerce aussi ma patience, car je n’ai d’autre choix que de respecter le rythme de la nature et d’attendre que ça pousse. Et ça vaut le coup lorsque je vois mes enfants cueillir des tomates cerises ou des framboises après leur baignade!

La plupart du temps, je suis seule, mais toute la famille y contribue. Mes deux enfants aiment particulièrement choisir des plants et les mettre en terre.

Zen, puis fière du résultat.