Conseils

Se préparer au sommeil

13 octobre 2020

Isabelle Queval

Psychologue

Temps de lecture 2 minutes
femme lisant un livre en buvant une boisson chaude
C’est connu, bien se préparer avant de se lancer dans une activité apporte des bienfaits. Pour le sommeil, comme pour le sport, les loisirs ou le travail, une bonne préparation est la clé. On se sentira ainsi en pleine forme au réveil. Voici les points sur lesquels vous devriez miser afin de bénéficier d’un sommeil réparateur.

Manger léger en soirée

Une petite collation santé quand on a faim avant d’aller dormir ça peut passer, mais un excès d’aliments peut provoquer des problèmes de digestion et de l’insomnie. On évite donc les repas copieux au souper et avant se mettre au lit.

Éviter la caféine et l’alcool en soirée

Pour contrer les effets excitants de la caféine, il faut s’abstenir d’en consommer dans les quatre à six heures avant d’aller au lit.

Quant à l’alcool, si son effet relaxant aide à l’endormissement, il perturbe les cycles de sommeil et entraîne plusieurs réveils durant la nuit.

Fermer les écrans

Il est fortement recommandé de fermer toutes formes d’écrans, que ce soit le cellulaire, la tablette, l’ordinateur ou la télévision au moins 30 minutes, et même idéalement 60 minutes, avant d’aller se coucher. On invite ainsi notre cerveau à se calmer et à produire une hormone qui est favorable au sommeil: la mélatonine.

Faire une activité relaxante

On peut profiter de cette pause sans écran pour faire une activité relaxante:

C’est aussi le moment de faire notre petite routine de préparation au dodo (se brosser les dents, se laver le visage…) avant de sentir l’appel des bras de Morphée.

Écouter les signaux du sommeil

On commence à cligner des yeux, à bâiller, à avoir les paupières lourdes? On va se coucher sans tarder!

Mais si, une fois sous les draps, on ne s’endort pas, vaut mieux ne pas rester dans la chambre à combattre l’insomnie. Notre cerveau va associer le lit à en endroit stressant. On est mieux de se lever, de lâcher prise, de faire une activité apaisante et d’attendre patiemment le retour du prochain cycle de sommeil.

Merci à la psychologue Isabelle Queval pour sa participation à cet article.

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