Comment gérez-vous votre temps et vos priorités?
Les personnes structurées
- organisent, planifient, structurent;
- sont en contrôle;
- détestent le stress de dernière minute.
Les personnes spontanées
- vivent spontanément et avec flexibilité;
- s’adaptent facilement;
- sont stimulées par la pression de dernière minute.
À chaque style de gestion du temps ses forces
Les forces des personnes structurées
- Sont méthodiques, appliquées et rigoureuses;
- Suivent le plan, terminent ce qu’elles entreprennent;
- Respectent les délais et les formalités.
Les forces des personnes spontanées
- Sont flexibles, peu perturbées par un changement;
- Sont capables de prendre des décisions rapidement
- Sont conciliantes et non conformistes.
À chaque style de gestion du temps ses objectifs
Mes objectifs si je suis une personne structurée
- Je respecte le fonctionnement des autres et je n’impose pas le mien;
- Je prends le temps qu’il faut pour prendre une décision et je me permets de changer d’idée au besoin;
- Je planifie en faisant preuve d’ouverture envers les changements;
- Je fais de la place aux imprévus;
- Je vise l’essentiel, je laisse tomber les détails;
- Je me fais plaisir, je me garde des moments libres;
- Je tente de me lancer avec plaisir dans des projets de dernière minute!
Mes objectifs si je suis une personne spontanée
- Je fais preuve de ponctualité;
- Je tiens parole: les autres prennent ma parole pour un engagement;
- J’occupe un emploi qui offre de la flexibilité ou qui me laisse du temps libre;
- Je garde mes plans ouverts, mais je sais que les changements peuvent stresser les personnes organisées;
- Je définis quotidiennement mes priorités et je termine au moins une chose, puis je me récompense;
- J’accomplis une tâche à la fois, plutôt que d’imaginer seulement le résultat de toutes les tâches accomplies.
Aucun des deux styles n’est meilleur que l’autre. Il faut simplement connaître le sien… et celui des autres, puis les respecter. Et se donner soudainement le droit de voir le quotidien d’un autre œil!
Merci à Isabelle Queval, psychologue, pour sa contribution à cet article.